Si vous êtes propriétaire, vous vous retrouvez peut-être devant des difficultés de compréhension du marché locatif français. Heureusement, il est possible de se protéger en tant que propriétaire, notamment devant le risque de loyers impayés. 

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Les assurances de loyers impayés : une protection pour les propriétaires

Tout savoir sur les assurances loyers impayés

Parmi les nombreuses raisons qui peuvent pousser un individu à proposer à la location son bien immobilier se trouve bien entendue la perception des loyers. Que cela soit pour s’assurer un revenu complémentaire ou bien pour rembourser le prêt ayant permis d’acquérir le logement, de nombreux propriétaires peuvent se retrouver en difficulté en cas de loyers impayés. Heureusement, il existe différentes assurances qui permettent de se prémunir des mauvais payeurs. En effet, le risque de ne pas recevoir son loyer existe toujours, les locataires pouvant se retrouver devant des problèmes temporaires impossibles à prévoir. 

L’assurance loyers impayés vous permet alors d’avoir une protection face à de possibles déboires financiers. En contrepartie du versement d’une mensualité, ce service financier vous permet alors de recevoir l’équivalent du loyer impayé. Ces assurances permettent souvent de recevoir des loyers impayés sur une durée variant entre 6 mois et un an. Des offres complémentaires peuvent également couvrir les frais de contentieux, voire même proposer une aide juridique. De plus, certaines offres peuvent également contenir des assurances vis-à-vis des dégradations qui pourraient survenir dans le bien immobilier mis en location. 

Comment souscrire à une assurance loyer impayé 

Si vous ne détenez pas un parc locatif conséquent, et que vous sélectionnez avec soin vos locataires, il faut alors peser le pour et le contre des assurances loyers impayés. Si ces dernières viennent rogner la marge de rentabilité, elles permettent toutefois de pouvoir se prémunir de tout accident, rendant votre investissement plus sûr. 

Pour bénéficier d’une assurance loyer impayé, il faut toutefois que votre dossier soit accepté par les assureurs. Pour cela, il convient bien évidemment de faire signer à vos locataires un contrat de location en bonne et due forme. Cela implique donc une clause mentionnant explicitement le fait que votre bien immobilier est couvert par une assurance vis-à-vis des loyers impayés. 

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Les assureurs proposent des services différents, il est donc primordial de bien parcourir les différents champs d’applications de l’assurance, ainsi que les conditions nécessaires pour son activation. Le but recherché dans une assurance loyer impayé est la garantie d’une rentabilité financière, il serait donc malheureux que le service auquel vous auriez souscrit ne puisse pas être utile en cas d’incident de paiement ! 

Les modalités des contrats d’énergie pour les locations meublées 

Si le bien immobilier que vous mettez sur le marché locatif est un meublé, certaines conditions s’appliquent dans le cadre des contrats d’énergie. C’est notamment le cas lors de la location de différents appartements au sein d’un immeuble. En premier lieu, il convient de rappeler que le locataire à la charge de souscrire à un abonnement auprès d’un fournisseur d’énergie afin de subvenir à ses besoins au sein de l’appartement loué. 

Le propriétaire doit cependant proposer un accès à l’électricité au sein des parties communes. Dans ce cadre, vous devez donc signer un contrat de fourniture d’énergie afin d’alimenter l’éclairage et les possibles prises électriques qui pourraient se trouver dans les couloirs et cages d’escaliers. Pour cela, il est recommandé de parcourir les offres des différents fournisseurs d’énergie, afin de trouver celle qui correspond le mieux à vos besoins. Il est également à noter que, signant un contrat d’énergie, vous devez alors équiper les parties communes de votre bien locatif d’un compteur d’électricité. 

Si les appartements que vous proposez à la location dépendent d’un chauffage commun, la souscription à un contrat d’énergie alimentant la chaudière vous échoit également. Si votre bâtiment utilise une chaudière au gaz, cela implique donc l’utilisation d’un compteur de gaz.  

Toutefois, il est à prendre en compte que les frais générés par la souscription à un contrat d’énergie peuvent être inclus dans les charges locatives. C’est notamment utile en cas de chauffage commun, dont la facture et les frais de régularisation peuvent être élevés. 

Enfin, si le bien locatif que vous proposez ne contient pas de parties communes, dans le cadre d’une maison de pleins pieds par exemple, vous n’avez alors pas à signer un contrat de fourniture d’électricité.  

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